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Genre : Action/aventure/suspens
Prix au moment du test : 15€ avec Primal
Hunt
Nombre de joueur(s) : 1 à 16 en réseau
Développeur : Monolith
Editeur : Sierra
Incarnez au choix un predator, un alien ou un marine, et partez
pour une aventure pleine de frissons (surtout avec le marine pour être honnête)
et d’horreur. Chacune des espèces disposant d’un arsenal, faite de votre mieux.
Marine=plein d’armes surpuissantes. Predator=peux se rendre invisible,
recharger sa santé et son énergie. Alien=une puissance d’attaque hors du
commun, il peut aussi grimper au mur !
Aliens ? Vous connaissez sans doute ? Mais si ! Les 4 films où
des humains se font éviscérer par des créatures vicieuses qui tuent sans
raisons, par pure distraction… Eh bien voilà ! Dans ce jeu, on vous
propose d’incarner les 3 espèces les plus puissantes de l’univers : Les
Aliens, les Marines et les Predator. En route pour un jeu plein de
frissons !
Aliens : Pourquoi tant de haine ?
Pourquoi les humains se servent de nous comme des objets ? Snif… Cela
demande vengeance. Il va falloir qu’on se reproduise et puis qu’on naisse pour
les étriper. Voilà l’histoire pour l’Alien.
Vous commencez l’aventure dans la petite peau d’une mimine blanche
qui sert à pondre des œufs dans le ventre des humains. Puis, après avoir trouvé
une victime isolée, vous lui administrez votre œuf, et, quelque heures plus
tard, c’est un petit lombric qui sort en éclatant le ventre de l’homme en
question. Puis ce lombric, en mangeant de petit mammifères, mue et devient une
bête sanguinaire et assoiffée de sang et de vengeance : un Aliens !
La maniabilité est normale pour une sorte de FPS (First Person
Shooter) où l’on contôle un Aliens. Quand vous pouvez casser un élément du
décors, vos griffes apparaissent à l’écran, vous pouvez assaillir aisément un
humains pour le faire éclater en morceau, où encore le massacrer à petit feu…Le
seul problème, c’est pour s’agripper au plafond. Une fois au mur ou au plafont,
on ne se repère plus très bien, et on préfère retourner sur le plancher des
pauvres mortels. Les graphismes
tiennent la route, les décors correspondent bien à l’esprit du jeu, bref,
l’Aliens, c’est le must ! Je note tout de même que l’on pousse environs
99.9999% de cris en moins avec l’Aliens.
Marine : Pourquoi suis-je né
humain ? Pourquoi mes supérieurs sont des crétins idiots avec leurs
expériences sur les Aliens (Xénomorphes) et les Predator ? Snif… Cela
demande la survie dans ce monde de brutes façonné par mes frères les hommes. Et
moi, comme un c… je continu à obéir aux ordres. Voila l’histoire pour le
Marines.
Vous commencez l’aventure dans un
goût pour le moins douteux : vous avez perdus le contact avec une
base interstellaire. Vos supérieurs vous donne l’ordre stupide d’aller voir ce
qui s’y passe avec votre équipe. Vous êtes un marines, vous êtes courageux, et
vous vous appelez Harrison. Mais devant votre écran, c’est différent :
vous êtes un furieux vidéo-fan, vous avez peur en avançant dans les couloir
obscure de la base, et vous vous appelez je ne sais comment, mais pas Harrison.
La maniabilité est irréprochable, on allume la lampe comme on veut,
on dirige et on shoot dans tout les sens pour éradiquer la vermine Aliens et
Predator sans problème. Les graphismes sont comme pour l’Aliens, ils sont
corrects. Pourcentage de flip : 80% Il n’est pas rare de vider un chargeur
dans le plafond au détour d’un virage en croyant y voir un Aliens.
Predator : Pourquoi les humains capturent-ils
mes frères ? Pourquoi je dois les massacrer ? Snif… Mes frères sont
sujets à d’horribles expériences, et je dois les aider et les délivrer, tout en
tuant des humains. Ca c’est du scénario béton ! Voilà l’histoire avec le
Predator (assoiffé de sang et de vengeance).
Quel culot ! Les humains osent pénétrer dans votre
forêt ! Peu de soldat, beaucoup de savants sans défenses…
YALLLLLLLAAAAAAA, j’vais les massacrer. Ensuite, je vais trouver leur base,
délivrer mes amis et pis vôôôla ! Mais quelles sont ces drôles de bêtes
noires qui crient et qui tuent ? Les humains les appellent les
Xénomorphes.
On flip à peine, les armes sont quasis nulles, les graphismes de la
forêt craignent un peu, bref, le Predator, il donne le sentiment d’être là pour
dire que dans ce jeu, il y a : « 21 missions en solo ».
Mais attention, on peut se rendre invisible pour tuer furtivement, et ça, ça
vaut le détour. Donc le Predator n’est pas complètement nul.
N’oublions pas le mode multijoueur. On a jamais vu mieux. Les 3
races gardes leurs capacités, à savoir monter aux murs etc…, mais en plus, les
maps sont vraiment biens construites, et c’est un plaisir de se retrancher dans
un coin avec d’autres marines pour repousser une attaque d’aliens avides de
tripes. Il n’y a pas de mots pour définir le mode multijoueurs… IL FAUT
ESSAYER !
Aliens vs Predator, c’est le jeu A POSSEDER même si on est comme
moi, pas trop fan du genre. Les 3 espèces varient vraiment le plaisirs, et on
ne s’ennuis pas.
Graphismes : Mouaih… Bof… On frôle la
limite avec le pred…, mais sinon c’est bon.
15/20
Jouabilité : Que dire ? Sinon que
grimper aux murs avec l’alien demande un grand temps d’adaptation. 16/20
Durée de vie : Avec 21 missions, vous avez
de quoi faire. L’aventure avec l’alien est un peu plus courte que les 2
autres. 17/20
Bande son : Les tirs et les cris sont très
bien réussis, mais la musique passe inaperçue… 15/20
Scénario : Grâce aux petits bouts de
papiers que vous trouverez sur votre chemin, l’histoire se dévoilera à vos n’yeux
peu à peu. Aux p’tis oignons… 17/20
Note Finale (sans multi) : 17/20
Note Finale (avec multi) : 19/20