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Genre : Course
Prix au moment du test : 60€ env.
Nombre de joueur(s) : 1 à 4
Développeur : Nintendo
Editeur : Nintendo
F-Zero GX = la vitesse, la
longueur de vie conséquente, des graphismes léchés, un max de vaisseaux, bref,
le top du top… Des années après l’opus sur N64, Captain Falcon revient.
Un
menu assez sobre pour un jeu qui déchire… Une musique pop japonaise pour un jeu
qui déchire… Une quarantaine de vaisseaux pour un jeu qui déchire…Et des
graphismes…qui déchire la GC !
Je
décide pour ma première course de prendre la machine de Captain Falcon (le
héros). Présentation du circuit, et puis c’est partie. On atteint rapidement les
1000 km/h. Les 29 autres concurrents se battent pour accéder à la première
place. Pour se frayer un chemin, une petite attaque toupie, suivie d’une
violente embardée sur l’adversaire…déjà un adversaire au tapis. Au bous de 5,
je peux gagner un essai supplémentaire (5 essais au départ du championnat).
Deuxième tour. Je peux à présent
enclencher le booster. Que va-t-il se passer dès que je vais appuyer sur
« y » ? Un effet d’éclair autour de mes réacteurs, et les autres
concurrents sont déposés sur place. Pas un ralentissement, et j’enclenche de
nouveau un booster. Ma barre d’énergie chute. La vitesse atteint des sommets,
grâce aux bandes de boosts disséminées sur toute la piste.
Grâce
à mon avance, je peux cesser de booster pour admirer les décors, et là, c’est
l’extase. Les développeurs ont utilisés toute les tripes de la GameCube pour
F-Zero GX. Quelle que soit la piste de la course, les décors sont fins et
léchés, sans que aucun ralentissement vienne troubler l’harmonie.
Troisième
tour. Je franchis l’arrivée en vainqueur, et la voix du speaker proclame :
« All Right ! First Place ! » ! (Passons sur la voix
vulgaire, car il paraît que c’est le style qui veut ça…) Une petite interview
par le journaliste de la ligue F-Zero, et là, je m’aperçois que les développeurs
de F-Zero GX ne sont doués que pour la course. En effet, les répliques à
choisir sont ridicules…
Bon,
assez rigolé. Les 5 coupes, 25 circuits vous donnerons du fil à retordre. Cela
assure une durée de vie assez énorme au soft. Le mode Story, vous proposant
d’incarner durant 9 missions Captain Falcon n’est pas très palpitant, et la
difficulté ne fera que vous exaspérer. Mais ce n’est qu’un grain de sable au
milieu du désert.
Le
shop F-Zero vous proposera d’acheter moult pièces pour construire vos propre
vaisseaux. Sur ce point, vous serez totalement libre. Vous mettrez les pièces
que vous voulez, sans que le jeu impose de restriction. Le soft offre même un
éditeur d’emblème, qui vous permettra de scotcher votre dessin sur le vaisseau
de votre choix. Mais tout cela n’est pas gratuit : rien que sauvegarder
les données de votre garage vous coûtera 18 blocs de carte mémoire… hum…
Graphismes : Du jamais vu ! Et pas un
seul ralentissement, même plein tube !
19/20
Jouabilité : Les vaisseaux répondent sans
problème à nos exigences. Tout dépend de sa configurations (poids, adhérence
etc…) 18/20
Durée de vie : Vraiment immense, mais le
mode story vous demandera du temps…perdu, tant il est dur. Tellement dur qu’il
finira par vous faire pester contre le jeu.
17/20
Bande son : Aîîî ! Vous aimez la pop
japonaise vous ? (on sent le soin apporter aux musiques, qui collent
parfaitement au style du jeu, mais à part Green Plant et Mute City, les
musiques vous prendrons la tête plus qu’elles ne vous ferons rêver.) 15/20
Scénario : Où ? --/20
Note Final : 18/20